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A quoi bon ce sentiment de culpabilité qui nous pourrit la vie !
Ponctuel et de courte durée, il peut nous questionner et nous aider à rectifier notre trajectoire vers le meilleur.
En revanche, pour peu que ce sentiment commence à envahir doucement toute notre existence, il aura tôt fait d’en faire un enfer !
Complètement absent, il reflète des comportements antisociaux ou psychopathes…
Mais qu’est-ce qui se cache derrière ce cancer du cerveau qui freine tout épanouissement ?
A-t-il vraiment sa raison d’être ?
Nous aide-t-il à grandir ?
Et surtout, comment s’en libérer ?
C’est ce que je vous propose de voir ensemble dans cet article
Que deviennent ces émotions que l’on évite ou refoule ?
Appréciées quand elles sont agréables, on a tout autant tendance à les détester lorsqu’elles sont inconfortables. On aimerait ne garder que les meilleures et pourtant chacune de nos émotions est un outil précieux, un signal lumineux dont il faut tenir compte.
Mais à quoi servent-elles… ?
Les émotions sont des indicateurs puissants : à travers elles notre corps nous renseigne sur nos besoins, elles offrent donc une source d’information essentielle, un savoir sur soi qui est précieux.
Si on les écoute, elles nous aident à prendre soin de nous et à corriger la trajectoire de ce qui ne tourne pas rond.
Elles ont bien sûr d’autres utilités et sont primordiales dans la prise de décision
C’est sur elles que s’appuient la plupart de nos choix : on ira vers ce qui nous apportera le plus de joie ! Pour plus d’infos, je vous conseille le livre « How we decide » de Jonah Lehrer
Elles jouent également un rôle crucial dans la communication et nos relations aux autres : sans elles nous aurions du mal à nous rapprocher de certaines personnes ou à nous en détacher d’ailleurs…
Elles représentent aussi un outil puissant dans les processus d’apprentissage : qui n’a jamais vu ses notes exceller avec un prof que nous aimions et qui nous valorisait ! Inversement combien de décrochages scolaires sont mus par un manque de stimulation et d’encouragements !
Mais que deviennent -elles lorsque qu’on tente de les refouler ou de les éviter ?
Ces histoires que l’on se raconte et qui nous enfoncent ! Ou l’art d’agrandir nos blessures !
Épictète disait : « Ce ne sont pas les évènements qui perturbent l’homme mais bien sa façon de les interpréter ».
Cette citation contient une idée phare qui peut nous guider !
Bien sûr, il ne s’agit pas non plus de nier nos émotions face à un événement qui nous touche.
Si quelque chose se produit et nous blesse, on pourrait comparer cela à une coupure sur la peau; coupure plus ou moins grande et profonde selon l’événement ou selon nos points sensibles.
Prenant un exemple courant : Monsieur ou madame est parti(e) voir ailleurs et a quitté le foyer …
Trois voies s’offrent alors à nous :
1) Passer directement à : « Je vais bien, je m’en fous, rien ne me touche, je reste dans la positive attitude ».
Cette option, bien qu’alléchante, n’est pas la plus respectueuse de vous-même et risque à la longue de vous rattraper au travers des maux divers qui s’inscriront dans votre corps.
Bien sûr l’idée n’est pas de s’enfoncer dans le mal-être pendant des lustres et d’en être le jouet, mais prendre le temps de connecter son émotion reste une étape essentielle pour ne pas accumuler mille rancœurs à l’intérieur de soi.
Boîte à outils pour gérer l’anxiété
Booster son énergie émotionnelle:
– La méditation
– Avoir un carnet de gratitude où l’on remercie le vie pour ce que l’on a 😉 ou encore écrire 3 bonnes choses qui sont arrivées dans la journée.
– Faire la liste de ses petites victoires: tous ces moments difficiles qui ont déjà été surmontés… preuve de la force que vous avez!
– Faire la liste de 20 moments heureux et déterminer
les éléments qui font qu’à vos yeux ce sont des moments heureux. Ensuite, voyez comment réinjecter ces éléments dans votre vie.
– Ecouter de la musique qui donne envie de danser, se constituer une playlist qui déménage.
– Faire de la cohérence cardiaque (applications nombreuses sur smartphone): 3 fois 5 minutes par jour pour lutter contre l’anxiété, 6 fois si la tendance est phobique.
– Lire des livres inspirants.
– Côtoyer des personnes positives et dynamiques.
– S’entourer de citations inspirantes.
Etre Haut Potentiel : c’est quoi ?
Être HP ce n’est pas être la caricature du matheux ou du savant scientifique ; ce n’est pas non plus être bon dans tout. Souvent le profil est très hétérogène : lors d’un test les variations peuvent être très grandes d’une rubrique à l’autre. Isolément chacun peut avoir l’une ou l’autre des caractéristiques qui suivent, être HP c’est avoir un faisceau de ces critères. Il ne faut cependant pas cocher tous les items non plus ! Si vous retrouvez une dizaine de ces aspects chez vous, il est grand temps de creuser la question 😉 Voyons ensemble le panel des caractéristiques possibles …
10 résolutions à ne pas prendre cette année !
Ahhhhh…ces célèbres résolutions que l’on prend chaque année et qu’on abandonne au printemps 😉
Dès lors, pourquoi s’esquinter ? Pourquoi ne pas laisser au placard les projets contraignants au profit de projets bien-être, bienveillants et en y allant pas à pas ?
C’est pourquoi cette année, pour ce mois de janvier, j’ai décidé de vous inviter à ne pas prendre vos résolutions habituelles.
Si vous avez déjà pris ces résolutions à maintes reprises et que ça n’a pas fonctionné : faites autrement, car il n’y a pas de magie : les mêmes pratiques donneront toujours les mêmes résultats.
Alors voici ce que je vous propose, laissé à votre libre choix évidemment 😉
Se rebooster au travail !
Septembre est souvent synonyme de reprise pour la plupart d’entre nous.
Pour certains, cette reprise représente le mouvement, le dynamisme et sont animés d’idées pétillantes. C’est comme une nouvelle année qui commence mais en septembre 😉
Pour d’autres, la reprise semble pénible voire même de plus en plus pénible d’année en année. En même temps, ils ne sont pas encore prêts à tout planter là pour de nouveaux horizons.
Comment se rebooster et rendre le travail plus agréable quand on est dans ce genre de dilemme ? Comment mieux rester quand on n’est pas à maturation pour partir ?
C’est ce que je vous propose de voir ensemble dans cet article
Mais qui se cache derrière les véritables « casaniers » ?
Cet article vise à mieux
comprendre ceux que l’on catalogue, souvent avec une pointe de mépris, de « casaniers ».
Ceux qui ayant le choix entre
une sortie, des vacances à l’étranger, une soirée cocooning chez eux, donneront
leur préférence à cette dernière option.
Bien sûr, ils accepteront
certaines invitations pour faire plaisir aux gens qu’ils aiment et sans doute
aussi pour donner le change d’une certaine « normalité ». Mais s’ils
s’écoutaient vraiment, la tentation de rester chez eux avec un bon bouquin
remporterait la palme d’or.
Je ne parlerai donc pas ici
des personnes qui restent chez eux parce qu’ils y sont contraints pour des
raisons financières ou de santé mais qui, s’ils en avaient les moyens, iraient
vers le monde extérieur en courant.
Je ne parlerai pas non plus
des personnes qui, aigries par la vie, se sont recluses chez elle alimentant
ainsi une certaine haine envers l’humanité.
Il n’est pas question non
plus d’états dépressif entraînant un repli sur soi.
Ce que je vais aborder ce sont les besoins de certaines personnes qui bien qu’étant actives (voire très actives) dans la société, qui bien qu’étant appréciées des autres, ont ce besoin absolu de se retrouver seules pour recharger leurs batteries, dans le calme de leur univers.
Sortir de sa « zone de confort » : Est-ce vraiment une étape indispensable pour être bien dans sa vie ?
Après le fameux « Lâcher prise » prôné sur tous les toits au point d’en hérisser plus d’un(e) (car admettons-le, ce n’est pas si simple que cela), une autre expression voit le jour et se présente comme une voie incontournable pour accéder au bonheur : « Sortir de sa zone de confort » ! Mais est-ce vraiment obligatoire pour avoir une vie digne de ce nom ? Définissons d’abord cette fameuse zone…
Quand savoir renoncer, quand savoir persévérer ?
Vous êtes en plein dans un projet de vie mais vous vivez un moment de découragement et avez envie de tout planter là ?
Votre projet n’avance pas comme vous le voudriez et vous vous demandez si cela vaut la peine de continuer ?
Votre projet commence à vous ennuyer ?
Savoir ce que l’on veut ou ce que l’on ne veut plus peut sembler beaucoup plus compliqué qu’il n’y paraît ! En tant qu’être humain, les doutes nous assaillent à maintes reprises.
Sans compter que tout changement, même positif, est facteur de stress.
Alors comment savoir si l’on doit abandonner un projet (quel que soit notre secteur de vie : couple, travail…) ou si l’on doit continuer envers et contre tout ?
Ce n’est pas dans la nature des choses d’être toujours au sommet de sa forme ! Et c’est très bien ainsi !
Faire toujours plus, être de plus en plus parfait, courir après l’idéal, être une personne exemplaire sous tous les fronts, ne pas décevoir, toujours plaire, tout réussir… et ainsi passer ses journées à se taper dessus parce qu’on y arrive pas.
On veut tout faire bien et on se plaint de toutes nos incompétences.
On veut jouer au héros et on se retrouve angoissé chronique, stressé, et au bord de tout larguer.
On cherche l’épanouissement et le bonheur et on se retrouve détruit, vidé de toute substance vitale.
On veut être performant en permanence et la culpabilité vient ronger nos journées parce que bien sûr, ce n’est pas dans la nature des choses d’être toujours au somment de sa forme !
Non mais vous imaginez les talents d’équilibriste qu’il faut pour être parfait dans tous les domaines ?
C’est même plus qu’on est à satiété, on est carrément gavé, saturé et de surcroit tout le temps insatisfait !
Pourquoi ? Parce qu’on n’accepte pas d’être simplement HUMAIN !
Vous avez déjà vu une vague rester en l’air ? Non, elle finit toujours par retomber.
Il y a-t-il une personnalité perverse narcissique derrière chaque manipulation ou parole toxique ? Volet II
Dans le premier volet paru au mois de mai, nous avons vu que les gens qui manipulent pour le plaisir de détruire ne remplissent pas les rues comme on pourrait le croire.
On a également analysé comment faire le tri et comment discerner une manipulation circonstancielle d’une façon d’être. Nous avons ensuite décortiqué les armes classiques de manipulation.
Dans ce deuxième volet, nous analyserons la mise en place d’une réelle relation toxique et les éléments pouvant déclencher « les crises ». Nous nous centrerons également sur comment gérer ces crises et finalement comment sortir de cette spirale infernale.
Ici, on part du principe que l’on a réellement à faire à un personnage pervers narcissique. Si vous avez encore un doute, relisez bien le premier article : toute manipulation n’est pas perverse. On manipule tous d’une façon ou d’une autre à certains moments de notre vie.
Un scénario presque écrit d’avance:
Il y a-t-il une personnalité perverse narcissique derrière chaque manipulation ou parole toxique ?
La notion de « Pervers Narcissique » est rentrée dans le langage courant parfois à tort et à travers. Quelqu’un nous manipule, nous ment, nous culpabilise et nous avons vite fait de clamer « c’est un pervers narcissique », PN pour reprendre l’abréviation.
Si derrière cette notion on retrouve une problématique très grave et très destructrice qui ne doit pas être négligée, il est néanmoins important de l’utiliser avec rigueur et prudence.
Les gens qui manipulent pour le plaisir de détruire ne remplissent pas les rues comme on pourrait le croire.
Oui mais alors, comment faire le tri ?
Comment être sûr(e) de discerner une manipulation circonstancielle d’une façon d’être ?
C’est ce que nous allons tenter d’éclaircir à travers cet article qui se découpera aussi en deux volets.
Dans le premier volet, nous allons faire la distinction entre le manipulateur occasionnel et le PN. Dans le cas d’une perversité narcissique, nous allons brosser les profils de personnalité tant du pervers que de sa victime. Nous verrons également les moyens utilisés pour manipuler et les conséquences sur l’individu qui les subit.
Dans un deuxième volet (édition de juin 2018), nous analyserons la mise en place d’une relation toxique, les éléments pouvant déclencher « les crises ». Nous nous centrerons également sur comment gérer ces crises et finalement comment sortir de cette spirale infernale.
Peur, anxiété, phobie : Faire le tri et avancer volet II
Lors du premier volet en février, nous avons vu les phobies dites spécifiques ainsi que les phobies qualifiées de sociales. Nous en avons dépeint les traits caractéristiques et, bien sûr, surtout comment en sortir.
Ce deuxième volet sera consacré à l’anxiété généralisée, de celle qui contamine toute notre vie ; nous analyserons également l’agoraphobie et le trouble panique.
Je veillerai à ce que ces distinctions soient compréhensibles et à vous fournir un maximum de clés. Promis !
Le trouble anxieux généralisé : comment le décrire et en quoi se distingue-t-il de la simple anxiété ?
Pour être diagnostiqué comme tel, l’anxiété doit s’être installée depuis au moins 6 mois dans le quotidien de la personne et avoir envahi différentes sphères de la vie.
En effet, l’inquiétude se porte ici sur une multitude de sujets et ce de façon assez intense.
Bien sûr, on retrouvera certains thèmes récurrents comme la santé, les finances, le risque d’accident ou d’agression, le travail…que ce soit pour soi ou pour ses proches.
Ex :
- La personne qui craint pour son/sa partenaire dès qu’il/elle prend la voiture ou qu’il/elle est en retard.
- La mère de famille qui vit dans la hantise perpétuelle qu’il arrive quelque chose à ses enfants.
- L’homme qui s’inquiète perpétuellement pour son travail et son avenir….
J’insiste sur la caractère quotidien, multiple et invalidant du problème.
La personne qui en souffre a beaucoup de mal à maîtriser ses inquiétudes et vit dans un état de tension psychique et physique constant. Elle reste sur ses gardes, sur le qui-vive comme si un malheur allait se présenter à tout moment. Son humeur en est lourdement affectée : nervosité, irritabilité, troubles de la mémoire et de la concentration deviendront vite son lot quotidien. Autant dire que la notion de détente a quasi disparu de son vocabulaire et que cela aura des répercussions tant au niveau familial, que social, que professionnel.
Du stress, en passant par l’anxiété, jusqu’à la dépression véritable : comment s’y retrouver, comment s’en sortir ?
Souvent accolée au moindre mal de vivre, la dépression est un mot clé qui ouvre sans nul doute beaucoup trop de serrures. Or la dépression est une véritable maladie créant une réelle rupture avec notre façon d’être habituelle. Il est vrai qu’il est parfois difficile de faire le tri entre une perte d’élan momentanée, une grosse fatigue, un état d’angoisse et la véritable dépression.
Qu’en dit la bible des psychiatres, le DSM :
- Au moins soit :
- Humeur dépressive
- Perte d’intérêt ou de plaisir
- Au moins deux semaines
- Changement par rapport au fonctionnement antérieur.
- Au moins 5 des symptômes suivants :
- humeur dépressive
- perte d’intérêt ou de plaisir
- perte de gain significatif de poids
(diminution ou augmentation de l’appétit) - insomnie ou hypersomnie
- fatigue ou perte d’énergie
- sentiment d’indignité ou culpabilité excessive
- agitation ou ralentissement psychomoteur
- troubles des fonctions cognitives (aptitude à penser, à se concentrer)
- pensées récurrentes de mort ou idéation suicidaire ou tentative de suicide
Le tout avec une gravité variable d’une personne à l’autre : le mal-être pouvant naviguer entre des réactions discrètes, une douleur morale intense et un désir de mort.
Dans tous les cas, sa présence affecte tous les secteurs de vie de l’individu que ce soit la sphère personnelle, la vie privée ou la vie professionnelle.
Peur, anxiété, phobie : Faire le tri et avancer
Cet article va se découper en deux volets.
Dans un premier temps, nous verrons les phobies dites spécifiques ainsi que les phobies qualifiées de sociales. Nous en verrons les traits caractéristiques et, bien sûr, surtout comment en sortir.
Après tout, je suis là pour vous aider et non vous abreuver de théorie 😉
Le deuxième volet (Édition d’avril 2018) sera consacré à l’anxiété généralisée, de celle qui contamine toute notre vie ; nous analyserons également l’agoraphobie et le trouble panique.
Je veillerai à ce que ces distinctions soient compréhensibles et à vous fournir un maximum de clés. Promis !
La peur, une émotion utile
Là, les choses sont simples, on a peur face à un danger réel, objectif, direct.
Elle est donc là pour nous préserver d’un danger immédiat.
Ex.:
- Vous traversez, une voiture arrive à toute allure, vous avez juste le temps de reculer pour l’éviter. Ouf ! Un bon coup de frayeur mais sauvé(e) !
- Vous êtes à vélo, un chien pas très sympathique vous court après pour vous mordre, la peur vous donnera l’énergie nécessaire pour pédaler plus vite J.
Bref, on a peur parce que c’est dangereux !
La colère : la comprendre, la gérer
Souvent mal perçue, une colère saine a pourtant son utilité et est un signe indicateur d’un besoin non satisfait.
Refoulée, elle prendra différents visages et sera alors franchement destructrice.
Comment l’identifier et surtout comment identifier ses formes dérivées ?
Comment l’exprimer sans se détruire, sans détruire l’autre ?
C’est ce que je vous propose d’explorer dans ce nouvel article.
Qu’est-ce que la colère ?
Elle fait partie de nos émotions de base depuis notre naissance, c’est donc une réaction tout à fait humaine et que l’on retrouvera partout à travers le monde quelles soient les cultures.
C’est une émotion « chaude », vive qui donne envie d’hurler et qui sur le plan physiologique s’accompagne de diverses sensations comme une accélération cardiaque, une tension extrême. Mais pas de panique, si elle est saine, elle saura mettre ses limites d’elle-même.
Enfin, elle est essentiellement due à un sentiment d’injustice ou de manque de respect (réel ou interprété comme tel).
Même si vous vous en défendez, on a tous connu un jour ou l’autre cette émotion 😉
Néanmoins, la façon dont nous allons y répondre sera très variable d’un individu à l’autre.
Vivre de façon équilibrée implique l’autorisation de ressentir toute sa gamme émotionnelle y compris la colère. Malheureusement, certaines personnes ont intégré durant leur enfance que ce n’était pas bien, que ce n’était pas une émotion appropriée, accueillie avec amour. Entendons-nous bien, il ne s’agit pas ici de culpabiliser les parents, ils ont fait de leur mieux ! Simplement la plupart des enfants grandissent avec le sentiment que s’énerver est dangereux et susceptible de les priver d’amour.
Pourtant une colère, à l’origine, est quelque chose de simple qui ne comporte aucun risque de déraper. Si elle éclate de façon dangereuse, c’est qu’une accumulation insidieuse a déjà eu lieu à l’intérieur et que c’est cet amas qui prend feu.
Si nous sommes attentifs à nos émotions, la colère incluse, nous possédons toujours en nous la possibilité de contrôler les choses.
Même non exprimée vers l’extérieur, il est essentiel de la reconnaître et de l’accepter.
Je parle bien de ressenti ; en effet il ne faut pas confondre l’émotion et ce que l’on en fait !
L’idéal étant de pouvoir exprimer assez rapidement ce que l’on a vécu.
Souvent nous sommes plus enclins à la ressentir avec nos proches et pour cause, une colère saine signe un intérêt véritable pour l’autre. Elle signifie que la relation est importante et que l’on souhaite trouver une solution à ce qui s’est passé.
Une colère saine est toujours momentanée.
Si la colère d’un de vos proches vous semble complètement disproportionnée et irrationnelle, sachez que d’une façon ou d’une autre, elle a toujours un sens même si celui-ci est peu compréhensible.
Si elle prend des proportions démesurées, c’est qu’elle prend racine dans un bourbier intérieur parfois très lointain.
Vous me direz ok, mais alors comment savoir si c’est une colère saine ou une colère déviée ?
Voici quelques indices pour vous aider à y voir plus clair :
Les Fêtes de fin d’année : bonheur pour les uns, calvaire pour les autres !
« Je déteste les fêtes de fin d’année où l’on se sent obligé(e) de faire la fiesta ! ».
« Marre de ces repas interminables, de ces heures à rester à table ».
« Je suis déjà tellement épuisé(e) en fin d’année et il y a encore ces fêtes à gérer ».
« Un tel ou une telle sera probablement de la partie et je devrai encore morde sur ma chique ».
« Comment je vais gérer toutes ces dépenses, comment trouver le bon cadeau ? ».
Pour certains, Noël est teinté de magie et donne un sentiment féérique. Les décorations qui illuminent la ville et l’intérieur des maisons offrent une sensation de chaleur par ce froid hivernal. Ces personnes décomptent les jours tant ils sont pressés de vivre des moments enchanteurs au sein de leur famille.
Malheureusement, pour d’autres personnes, Noël s’apparente plutôt à un véritable cauchemar ! Et ces personnes sont loin d’être une exception, le nombre d’individus allergiques à cette période tend à s’amplifier. Mais qu’est-ce qui se joue ? Pourquoi cette période bouscule autant ?
Le Bore Out ! Un phénomène aussi destructeur que le Burn Out?
« Mon travail m’ennuie à mourir »
« Il n’y rien d’intéressant à faire et en même temps je me culpabilise »
« Je n’ai pas assez de travail que pour remplir la journée »
« Mes tâches sont toujours les mêmes, j’ai l’impression d’être un robot »
« Les heures au bureau me semblent interminables »
« Je me sens complétement démotivé(e) et inutile au boulot »
Et des remarques corollaires :
« De quoi tu te plains, au moins tu as un travail…Pense à tous ceux qui sont sans emploi ! »
« Ben quoi, tu as de la chance : tu es payé(e) à rien faire, c’est Byzance ! »
Si ces petites phrases d’apparence anodines vous font écho, il est possible que vous souffriez de ce qu’on appelle aujourd’hui le Bore Out !
Mais de quoi parle-t-on ?
Définition de base :
Tiré du mot anglais « boring » qui signifie ennuyeux, le Bore Out désigne le fait d’être à bout par manque de travail, de challenge ou de motivation.
Un mal en pleine expansion
Le terme en tant que tel fait son apparition en 2007.
Si le Burn Out est en passe d’être reconnu comme maladie professionnelle, le Bore Out est encore loin de l’être et souvent banalisé.
Dans un monde où le rendement prime et où être débordé fait plutôt bon genre, vivre un Bore Out s’assimile davantage à une maladie honteuse.
Et pourtant, il semblerait qu’il touche près d’un tiers des salariés sur notre continent européen!
Or, trop de stimulations ou trop peu, le résultat est tout aussi nocif.
Bien sûr, dans n’importe quelle activité, il peut y avoir des périodes où il fait plus calme, où certaines tâches sont un peu plus ennuyeuses mais si cet état de fait prend toute la place de façon prolongée on arrive vite au supplice.
Comment réveiller le charisme naturel qui est en vous?
Vous voulez être plus rayonnant(e) ?
Vous voulez prendre tranquillement et sereinement votre place ?
Vous voulez révéler tout le positif qui est en vous ?
Cet article est pour vous 😉
Entendons-nous bien, le but est de dégager réellement le meilleur de vous-même. Mentir, faire semblant, manipuler ne feront jamais de vous quelqu’un d’attirant sur le long terme. Sans congruence, votre charme sera bien éphémère.
Il s’agit d’être rayonnant(e) avec sincérité et authenticité !
Ne me dites pas « je n’ai rien de charismatique en moi », je n’y crois pas un seul instant.
Votre potentiel est juste en sommeil et ne demande qu’à scintiller 😉
Pourquoi révéler le soleil qui est en nous ?
Parce que cela nous aidera à être plus confiant en nous, plus confiant dans nos interactions avec les autres.
On pourra se sentir plus à l’aise dans des situations nouvelles et ouvrir davantage la porte à de belles rencontres.
Cela permettra également de prendre sa juste place dans l’existence sans pour autant envahir l’espace des autres.
En bref, par respect pour soi et son chemin de vie !
Apprendre à se simplifier la vie !
La période des vacances est déjà derrière nous, j’espère que vous avez bien rechargé vos batteries !
La reprise bat son plein entre le travail, les trajets, les courses, le ménage, les activités de chaque membre de votre tribu, et j’en passe. Cerise sur le gâteau, histoire d’être sûr d’adhérer à l’adage « Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué », nous bénéficions d’un cerveau qui a particulièrement l’art de nous complexifier les choses 🙂 .
Afin de garder au mieux son élan, aujourd’hui nous allons voir quelques pistes pour nous simplifier la vie 🙂
Commençons par l’extérieur : home sweet home…
Si en rentrant du boulot chaque soir dans votre petit nid, votre regard tombe sur un fouillis de choses, des objets en vrac à n’en plus finir, peu de chance que votre cerveau soit en mode clarté ou apaisement ! Au contraire, vous aurez encore plus l’impression d’être submergé(e) et que tout s’embrouille dans votre tête.
Vous avez certainement déjà vécu ce sentiment de soulagement que procure un bon tri 🙂 .
Il semblerait même qu’au-delà du résultat, l’acte de ranger en tant que tel aurait des vertus thérapeutiques : rien que de se poser la question « je garde ou pas ?» amène une introspection sur ce qui est essentiel à nos yeux et sur ce que chaque objet représente in fine. En bonus également : la sensation de reprendre un peu le contrôle dans une vie de marathonien(ne).
Alors, quelques pistes :
Ne gardez que ce qui vous procure du bien-être, du plaisir ou qui est vraiment utile.
Petit tour dans la cuisine : Profitez-en pour liquider tout ce qui est cassé, périmé, en double ou jamais utilisé !
Idem en passant pas la salle de bain J.
Petit tour dans la garde robe, et si vous faisiez plaisir à quelqu’un en donnant tout ce que vous ne mettez plus depuis deux ans ? Je vous entends déjà dire : « Ça peut toujours servir », « Si je maigris, je pourrais les remettre »… Vraiment ? Faites le test, gardez encore tout pendant deux ans, fort à parier que vos vêtements auront continué à abriter la poussière. Et si vous avez perdu du poids, vous serez tellement content(e) que vous aurez tout bonnement envie de vous acheter l’une ou l’autre nouvelle tenue 🙂 .
Les livres : Voilà encore une belle occasion de faire plaisir à quelqu’un; ne gardez que ceux qui ont vraiment de la valeur à vos yeux et que vous compter relire.
Maintenant, si vous êtes amoureux des livres et que rien que leur présence vous procure plaisir et chaleur, c’est une autre histoire et ils rentrent dans la catégorie à garder !
Les papiers : Rassemblez ceux qui doivent être conservés dans des fardes et dans un endroit précis. Ceux qui n’ont plus lieu d’être gardés, hop, à la poubelle.
Les objets à valeur sentimentale : Vous voulez vraiment les garder tous ? Une petite sélection serait-elle négociable ?
Les jouets des enfants : Cassés ? Plus de leur âge ? Laissés dans un coin depuis belle lurette ? Donnez et comblez d’autres enfants ;-).
Et tant qu’à faire, faites aussi un tri dans le flot d’informations de la presse, n’encombrez pas votre esprit chaque jour de mauvaises nouvelles.
Evitez de vous stresser en regardant toutes les actualités en provenance du monde.
PS : Si vous avez tendance à tout garder par peur du manque, pourquoi ne pas travailler votre peur ? Vous serez doublement gagnant : un espace plus libre et une angoisse en moins 😉
Bon allez, passons à un autre secteur !
Comment vivre motivé et de meilleure humeur !
Alors soyons clairs, le but n’est pas d’être toujours au sommet de sa forme ni de nier ses émotions inconfortables. Les émotions ont toutes le droit d’exister et sont là pour nous signaler qu’un besoin n’a pas été satisfait.
Cela étant dit, si on peut cultiver davantage de bonne humeur, ce n’est pas plus mal 🙂 !
Même chose pour la motivation !
Commençons par la bonne humeur 🙂
Etre de bonne humeur permet une joyeuse montée de certaines hormones comme la dopamine (qui met en action), la sérotonine (qui apaise l’angoisse et favorise le bien-être) et les endorphines (qui donnent du plaisir).
Ne me dites pas que vous n’êtes pas tenté(e) par ce petit cocktail pétillant de bonnes choses à boire sans modération, cul sec ou à siroter à votre convenance. De bonne humeur, notre espérance de vie augmente et notre santé est meilleure.
Le relationnel en bénéficie largement aussi : mieux avec soi-même, on est mieux avec les autres…
Et beaucoup plus attirant(e) 🙂 !
Mais avant de passer aux astuces pour doper sa joie de vivre, passons à l’autre partie de notre titre : La motivation…
De celle qui nous porte vers la réalisation de nos désirs.
Retrouver l’art de flâner Et adopter la slow attitude !
Les hommes se cherchent des retraites, chaumières rustiques, rivages de mer, montagnes (…). Nulle part l’homme n’a de retraite plus tranquille, moins troublée par les affaires, que celle qu’il trouve dans son âme (…). Donne-toi donc sans cesse cette retraite, et, là, redeviens toi-même.
Marc Aurèle, philosophe stoïcien
Nous voici donc à la période de juillet – août, période de vacances pour bon nombre d’entre vous …
Alors, un seul mot d’ordre : on se pose, on se calme, on se détend !! 🙂
On arrête de s’enliser, on décide de ralentir et si on ne veut pas tomber dans le burn out (voir article précédent) on réapprend à vivre !
Pour certains, c’est d’ailleurs plus qu’urgent !
Le burn out : Comment en sortir, comment se reconstruire ?
both » />Comme promis, voici notre deuxième volet consacré au burn out.
Lors du premier article nous avions vu comment le définir, aujourd’hui, nous allons le voir sous l’angle de comment en sortir.
La personne qui en souffre a sans nul doute déjà eu l’occasion de surmonter bien d’autres épreuves dans sa vie et pourtant, dépasser un burn out va être un cheminement particulier qui laisse des traces.
Avant toute chose, il s’agira d’apprendre à être à l’écoute de ses émotions et non plus de les étouffer. Mettre un nom sur ce qui se passe et affronter le problème sont certes un préalable mais il n’est pas si évident que cela.
Souvent, des stratégies de fuite, d’évitement et d’hyper contrôle de soi ont été mises en place et sont tenaces.
Il arrive même qu’en compensation, la personne se jette encore plus dans son activité professionnelle cherchant ainsi à combler son sentiment d’inefficacité dans des heures supplémentaires. Attitude qui aura vite fait d’accentuer l’état de mal-être.
L’acceptation comme première étape
Accueillir au lieu de lutter ou de nier ! Accepter l’état de démolition intérieure avant de reconstruire…
Réapprendre à se connecter à soi, à ses sensations, à son corps va déjà prendre un certain temps.
Il s’agira ainsi de s’arrêter, de prendre du recul, de s’auto-observer avant de pouvoir avancer vers la guérison.
Prendre conscience que nous sommes mal barrés mais aussi de comment nous sommes rentrés dans ce processus.
Quitter des modes de fonctionnement qui ne nous conviennent plus ne se fait pas en un jour ! Certaines habitudes sont bien ancrées et ont tendance à résister.
Il va falloir aussi reprendre confiance en soi et redonner sens à sa vie.
Tout cela ne peut se faire qu’en acceptant d’être accompagné(e).
Bien sûr, c’est une question délicate puisque souvent des responsabilités incombent aussi au système, à l’entreprise mais il n’en reste pas moins que la personne qui en souffre devra s’atteler à un travail personnel. Elle veut se sentir mieux et c’est vers ce mieux-être que le professionnel de la santé devra la guider.
J’apprends à m’affirmer et à poser mes limites
Combien de fois ne nous sommes-nous pas retrouvé(e) à dire « oui » alors que l’on avait juste envie de dire non ?
Cela nous est déjà arrivé à tous, n’est-ce pas ?
Pourquoi avons-nous si peur de nous affirmer et d’oser être nous-mêmes ?
Quelles clés pour en sortir ?
Des racines diverses
Bien sûr, dire oui de temps en temps pour faire plaisir peut aussi être source de joie : la joie d’avoir offert un petit bout de bonheur à l’autre, la satisfaction d’avoir apporté le kilomètre supplémentaire qui donne du baume au cœur de celui qui le reçoit.
Mais si vous êtes toujours dans le « faire plaisir » en vous oubliant, le risque est grand de perdre la connexion avec vous-même et de voir les frustrations s’accumuler en vous au fil du temps. S’oublier engendre le risque de développer certains maux dans le corps ou une certaine mélancolie de l’âme.
Au-delà du faire plaisir, il nous arrive aussi de ne rien dire ou de nier nos besoins par peur du rejet. La croyance de départ étant : « Si je dis ce que je pense ou si je fais cela, l’autre ne m’aimera plus autant » …
En lame de fond, cette pensée que l’on ne peut être aimé(e) tel(le) que l’on est. On se soumet aux désirs de l’autre dans l’espoir d’obtenir son approbation et sa reconnaissance éternelle.
Là aussi, un danger se profile : en étant guidé(e) par la peur, nous avons de grandes chances de produire ce que nous voulions à tout prix éviter. Difficile d’avoir de l’admiration pour quelqu’un qui s’efface, s’oublie, se manque de respect : le résultat en sera probablement du manque de considération et de la lassitude.
Autres cas de figure, ne pas se positionner par peur du conflit.
Même principe, si vous stockez frustrations et non-dits par peur d’un clash, toutes ces poubelles entassées jailliront un jour où l’autre sous forme d’une explosion massive, générant un énorme conflit. Une fois de plus, vous finirez par tomber nez à nez avec ce que vous redoutiez le plus. Vous aurez juste gagné un peu de temps sur le conflit … ou perdu beaucoup de temps de vie et de bien-être.
Exprimer ce que l’on ressent avec respect
Dire ce que l’on ressent plutôt que ce que l’on pense est une des clés essentielles.
Ce qu’on pense, est déjà une interprétation que nous avons faite de ce qui s’est passé… Et n’est pas nécessairement la réalité de l’autre ! D’où parfois la réaction assez vive de notre interlocuteur.
Partez avant tout de ce que vous ressentez face à ce qui a été dit ou fait. Restez sur les faits qui se sont produits et dans la mesure du possible évitez de partir dans tous les sens ou de faire des généralisations.
Exprimez ensuite ce dont vous avez besoin et formulez votre demande avec le plus de clarté possible.
Pour résumer, cela donne quelque chose de cet ordre-là :
Je me sens …(émotion)
Quand tu… (faits précis)
Car j’ai besoin…
Et je te demande… (demande précise).
Comment faire des choix éclairés en 10 étapes?
La vie est une série de tournants teintés d’alternatives : certaines semblent évidentes, d’autres nous prennent la tête.
Comment décider au mieux ?
Comment opter pour une voie en toute conscience ?
Bien sûr, fondamentalement, il n’y a pas de bons ou de mauvais choix, il n’y a que des expériences et les erreurs sont là pour nous aider à rectifier le tir.
Néanmoins, rien ne nous empêche de limiter le risque de faux pas.
Pour cela, il va falloir tenir compte d’une série de données, de certaines questions, peser le pour et le contre, évaluer les risques.
Voyons ensemble ce qui est susceptible de vous servir de radar pour vous orienter au mieux de vos possibilités.
1. Prendre garde à ne pas réagir dans l’urgence ou trop à chaud
Quelques pistes :
Est-ce vraiment nécessaire de trancher tout de suite ?
Est-ce que je prends cette décision en réaction aux évènements extérieurs ou est-ce une action que j’ai besoin de prendre en tant que telle ?
Quels risques si je postpose ?
Est-ce un choix régit par la peur ou par un désir ardent ?
Si la réponse est que vous pouvez attendre un peu, prenez le temps de vous poser et de réfléchir aux autres questions 🙂
Le burnout Comment définir et identifier ce mal qui nous consume ?
Cet article sur le burn out, est le premier d’une série de 3 dont la parution se fera tous les 3 ou 4 mois.
Aujourd’hui, nous allons porter notre attention sur:
Quels en sont les symptômes ?
Quelles sont les personnes les plus à risques ?
Les causes sociétales, les solutions, les traitements seront abordés ultérieurement ainsi que le bore out.
Le burnout est devenu tellement courant, qu’on a tendance à se dire concerné dès qu’on est fatigué ou qu’on en a ras-le-bol de notre travail. Pourtant, ce terme recouvre une souffrance bien plus profonde qu’une simple baisse d’énergie ou de motivation.
Ce qui ne veut pas dire que l’on doit sous-estimer une fatigue qui s’installe ; en effet, si le brun out apparaît souvent comme une véritable cassure dans la vie d’un individu, son arrivée s’est faite petit à petit, insidieusement.
L’identifier, le définir
Le burn out, c’est comme se retrouver éteint(e) après avoir trop donné de soi, de son énergie, de ses ressources.
L’épuisement est aussi bien physique que psychique.
La personne se sent vide, les choses de la vie n’ont plus beaucoup de sens. On est à fleur de peau et on peut se laisser aller à des excès d’énervement et de colère pour un oui, ou pour un non.
La mémoire et la concentration semblent s’être fait la malle, rassembler ses idées et y voir clair devient de plus en plus compliqué.
Tout est corvée, tout est devenu une montagne.
Si certains explosent à tous vents, d’autres vont progressivement se murer dans une froideur et donner l’impression que plus rien ne les touche, et pourtant…
Ce détachement poussé à son paroxysme peut aboutir au cynisme, à l’humour noir, une perte totale de toutes illusions. L’individu se déshumanise…
J’insiste sur le fait que ces éléments représentent vraiment une différence par rapport à la personnalité de départ du sujet qui en souffre. La différence d’attitude est flagrante.
Un sentiment d’inefficacité s’installe, on ne se sent plus bon à rien et frustré de ne plus trouver de sens à son travail.
Dévalorisation de soi, culpabilité et démotivation : tel est le trio de choc qui s’empare de tout notre être !
C’est vrai que la rentabilité n’est plus ce qu’elle était et qu’on est moins efficace, mais pas parce qu’on est bon à rien… mais plutôt parce qu’on a voulu être trop bon dans tout.
Bien sûr, les erreurs deviennent plus fréquentes et faire des choix devient un casse-tête mais comment peut-il en être autrement puisque qu’on est vidé de toute substance vitale ?
On peut avoir la meilleure voiture du monde, sans carburant elle n’ira pas loin…
Comment avoir plus de jus au quotidien et déborder d’énergie ?
Ce n’est pas tout d’avoir des objectifs de vie, encore faut-il avoir l’énergie et la vitalité de les mettre en action!
Notre rythme de vie cadencé entraine chez bon nombre d’entre nous un sentiment de fatigue, qui lui-même va ternir notre vision des choses, notre perception de la vie.
Comment retrouver cet élan, cette envie pour avancer vers nos rêves ?
En fait, vous pouvez déjà poser vous-même un diagnostic en tenant un petit carnet de bord et en notant chaque soir ce qui a été énergétivore ou énergétiphile : quand j’ai fait telle activité … je me suis senti(e) fatigué(e) / en forme, quand j’ai passé du temps avec telle personne … je me suis senti(e) fatigué(e) / en forme, quand j’ai pensé à telle ou telle chose… je me suis senti(e) fatigué(e) / en forme.
Vous aurez vite une cartographie de vos bouffeurs d’énergie mais aussi de ce qui vous donne du peps !
Ce constat étant fait, voyez comment vous pouvez augmenter les éléments favorables dans votre quotidien et comment vous pouvez réduire les éléments toxiques.
Pour rappel, vous connaissez maintenant ma devise, inutile de vouloir tout changer d’un coup : la politique des petits pas a plus de chance de vous mener loin ! Aussi, optez pour l’un ou l’autre outil et testez-le par vous–même suffisamment longtemps. S’il vous convient, ancrez-le avant de passer à l’instauration d’une deuxième nouvelle habitude.
Certes, sans action rien ne bouge, mais se noyer dans trop d’actions est tout aussi inutile.
Voyons maintenant quelques pistes pour retrouver cette flamme de vie en nous :
- Si certains membres de votre entourage vous pompent, songez dans la mesure du possible à réduire ces contacts sans culpabiliser. Ne vous laissez pas tirer vers le bas…
Par contre, les relations boostantes sont à favoriser sans modération 🙂 .
- Pour ce qui est de nos pensées, il est assez évident qu’un état émotionnel orienté vers le positif donnera plus de vitalité que de ruminer sur tout ce qui ne va pas. Prenez le temps d’observer pendant quelques jours et sans jugement les pensées qui défilent dans votre tête…
Et rectifiez le tir en douceur…
- Regardez de temps en temps une vidéo qui vous fait rire, l’énergie remontera aussitôt.
- Le mouvement appelle le mouvement, plus vous vous mettrez en action, plus il vous sera facile d’y rester. Inversement, moins on en fait, plus on se sent apathique. Pas la peine de vous dire que vous n’êtes pas capable : sans avoir pratiqué, vous ne pouvez pas le savoir. Et je peux vous garantir que vous êtes capable de beaucoup plus de choses que vous ne le croyez ! Petite astuce : ne parlez plus en termes d’échec mais évoquez plutôt la notion d’essai. Et bien sûr, il faut souvent plusieurs essais avant de bien intégrer une nouvelle compétence.
- Intégrez dans votre emploi du temps au moins une chose que vous aimez, qui vous passionne. Le plaisir de faire quelque chose est encore le meilleur fournisseur en énergie.
Si vous êtes à court d’idées en la matière, voici quelques questions pour vous guider :
Comment instaurer de nouvelles habitudes dans votre vie ?
Autrement dit, comment mettre en œuvre vos résolutions de nouvel an 🙂 ?
[clearboth]
Mais au fond, qu’est-ce qui fait que ces résolutions sont si difficiles à tenir, voire même à mettre en action ?
Allez, soyez sincère, qui n’a jamais connu ce phénomène de bonnes décisions tombées à l’eau ? 🙂
Alors qu’est-ce qui coince ?
Passons en revue les différents éléments nous empêchant d’aller vers le meilleur de nous-même :
La motivation
Quelle est la motivation profonde derrière votre intention ?
Le but du but en quelque sorte : quel « plus » cela va-t-il donner à votre existence (viser loin 😉 ). Quel en sera le plaisir ultime ?
Est-ce que le déplaisir de la situation actuelle ou future est suffisamment important ? Si vous continuez sur votre ancienne lancée, quels sont les risques que vous encourrez ?
Votre motivation est-elle basée sur la peur ou sur l’amour ?
Vous avez peur d’attraper une maladie ou vous avez envie de prendre soin de vous ?
Sachez simplement que les décisions prises sur la base d’anxiété sont plus difficiles à tenir que celles prises pour des raisons positives !
Si, si je vous assure !
L’amour est sans nul doute plus efficace que la peur !
Est-ce une motivation personnelle ou celle de quelqu’un d’autre ? Est-ce votre propre envie ou c’est pour faire plaisir à un proche ?
Sur ce point, le débat est ouvert : certaines personnes auront plus de motivation si le moteur est extérieur ; pour d’autres, peu de chances que ça tienne sur le long terme si l’envie n’est pas intrinsèque.
Le manque de clarté
Est-ce que votre désir est clairement précisé ?
Savez-vous réellement ce que vous voulez ?
Ce que vous voulez est-il bon pour vous ? Est-ce que cela vous aidera à être une meilleure personne ?
Si oui, prenez le temps d’écrire votre objectif et de l’afficher
Le manque de discipline et vouloir tout, tout de suite
Ecrivez votre plan d’action pour la semaine mais évitez les défis trop élevés.
La politique des petits pas a bien plus de chances de vous mener là où vous voulez aller. Vouloir tout révolutionner, c’est vous mettre face à une montagne à gravir d’un seul coup : c’est oppressant, décourageant et on finit par rester au sol.
Les petites réussites vous guideront bien mieux vers la victoire finale.
Que préférez-vous : « un gros succès immédiat et un échec final ? » ou « des succès plus modestes et un triomphe en bout de route ? »
[clearboth]
Si un minimum de rigueur s’impose, évitez de fonctionner dans un « il faut » et « je dois » perpétuel : rien de plus éreintant !
Donnez-vous la permission « d’aller vers » plutôt que de vous soumettre à un système ultra rigide.
« Face à la roche, le ruisseau l’emporte toujours, non par la force mais par la persévérance ».
H Jackson Brown
Comment se libérer de la dépendance affective ?
« Vous sentez-vous vide sans l’autre ? »
« Avez-vous un besoin quasi constant d’être apprécié(e), valorisé(e) ? »
« Avez-vous tendance à trop en faire pour l’autre quitte à oublier vos propres besoins ? »
« Avez-vous peur de vous retrouver seul(e) ? »
« Vivez-vous dans la peur d’être abandonné(e) par l’autre ? »
« Avez-vous honte de votre vulnérabilité tant vous cherchez à être apprécié(e) ? »
« Avez-vous fait de l’autre le centre de votre univers, l’objet de toutes vos conversations ? »
« Avez-vous tendance à vous excuser pour un oui ou pour un non ? »
« Cherchez-vous à vous remettre en couple au plus vite après une séparation ? »
Si la réponse est oui à la plupart de ces questions, il est probable que vous souffriez de dépendance affective !
No stress, d’abord nous sommes tous à des degrés divers des dépendants affectifs : on a tous le besoin d’aimer et d’être aimé. Par contre, si « cette dépendance » devient source de souffrances quotidiennes et que nous nous sentons perdu(e) sans la présence ou la reconnaissance de l’autre, alors un drame est en train de se jouer.
Si vous vous sentez vide et sans identité sans le regard de l’autre, si vous avez besoin de vous accrocher à l’autre comme si votre survie en dépendait, alors il est temps de vous retrouver et de prendre conscience de votre propre valeur.
C’est donc à l’intensité de la douleur qu’on reconnaîtra une dépendance affective.
A noter que les symptômes de la dépendance peuvent se retrouver dans plusieurs registres et pas seulement dans le domaine sentimental : la vie sociale et professionnelle peut également en être affectée.
Comment introduire plus d’érotisme dans votre couple?
Vous avez l’impression d’être entré(e) dans une routine sexuelle ?
Vous avez l’impression d’avoir trouvé « les boutons » qui marchent et vous n’utilisez plus que ceux-là ?
Vous avez l’impression de vous encroûter et de vous laisser aller ?
Que faire pour redynamiser son couple ?
C’est la question à laquelle nous tenterons de répondre dans cet article consacré à l’érotisme.
Préambule
Ces outils peuvent aider les couples qui ont une relative bonne entente mais qui se sont laissés prendre par toutes les activités ou obligations quotidiennes et qui veulent se retrouver.
En effet, la sexualité humaine fonctionne parfois en entonnoir : on tente moins de choses après 5 ans ou 10 ans.
Souvent quand on a découvert « la formule qui marche », on continue à l’appliquer inlassablement, se limitant ainsi à quelques rituels précis. Or, je peux adorer la tarte à la framboise mais si j’en mange tous les jours, à un moment donné, elle n’aura plus la même saveur ! Sans compter qu’au cours de notre évolution, nos besoins et nos envies peuvent changer, évoluer.
Réinvestir dans sa sexualité demande du temps, une certaine énergie et une part d’engagement.
Si vous n’avez pas l’envie profonde de recoller les morceaux, le problème est peut-être à trouver au sein du couple même. Le manque de désir n’étant alors que le symptôme d’autre chose qui dysfonctionne dans la sphère conjugale.
Il est donc important d’être d’abord au clair avec ce qu’on recherche et ce qu’on est prêt à y investir.
Pour d’autres, ce sont des traumas ou des peurs plus ancrées qui freinent l’épanouissement, un traitement thérapeutique sera alors nécessaire. Un travail de fond permettra à la personne de guérir de certaines blessures, de se libérer du regard de l’autre, de se libérer de ses zones d’ombres.
Enfin, certaines personnes sont entrées dans l’évitement à cause d’un autre problème : éjaculation prématurée, dysfonction érectile, dyspareunie (douleurs à la pénétration), vaginisme… Là encore ne laissez pas ces symptômes pourrir votre vie, des solutions existent et la sexualité ne se limite pas à la pénétration. N’hésitez pas à consulter un sexologue, il est là pour vous aider à retrouver plus d’harmonie.
Comment devenir le chef d’orchestre de sa vie ?
Avez-vous déjà rêvé d’une vie meilleure et plus épanouie que celle que vous vivez actuellement ?
Beaucoup d’entre nous ont des buts, des rêves mais ne savent pas comment faire pour les atteindre. Ils ont déjà imaginé leur vie idéale, mais ignorent comment mettre les choses en place ou quelles actions poser pour faire de cet idéal une réalité.
D’autres encore, ont une vague idée de ce qu’ils aiment et pensent qu’avec un autre job, ou de nouvelles opportunités ou une nouvelle rencontre ou plus d’argent, ils seraient plus heureux et tout coulerait de source.
D’autres encore ont déjà réfléchi à leur avenir mais ne croient pas en eux ni en la possibilité de pouvoir faire quelque chose pour se rapprocher, ne fut-ce qu’un peu, de leurs rêves.
Enfin, certaines personnes ne savent même plus ce qui leur ferait plaisir ou ce qui pourrait les rendre joyeuses ; elles se laissent dériver de jour en jour, subissant la vie comme quelque chose d’inéluctable.
Si vous vous ennuyez dans la vie ou si elle ne ressemble en rien à ce que vous attendiez d’elle, alors il est temps d’opérer quelques changements !
Bien sûr, il peut y avoir des obstacles et des craintes mais il est temps de les dépasser et d’être davantage créateur de votre vie !
En tant qu’humains dans un monde réel, nous ne possédons par les pouvoirs surnaturels des super héros mais ce n’est pas pour autant que nous n’avons aucun pouvoir sur notre vie !
Nous possédons le pouvoir de grandir, d’évoluer, de dessiner notre avenir, de déterminer ce que nous voulons être.
Au fond, ce pouvoir peut même être plus grand que n’importe quel pouvoir surnaturel : un pouvoir qui construit une réalité tangible et non un film imaginaire ; un pouvoir que chacun possède et qui peut faire de lui un héros à sa façon : C’est le pouvoir de l’esprit associé à celui de l’action !
Comment booster sa confiance en soi pour une rentrée gagnante!
Rien de ce que vous faites ne vous semble bon.
Vous pensez que la plupart des gens ne vous aiment pas.
Vous pensez que vous êtes inintéressant.
Vous n’avez pas de chance et vous choisissez les pires solutions.
Vous avez peur de parler avec les autres parce que vous croyez que vous n’avez rien à dire.
Vous vous sentez nul(le) et incapable.
Après avoir vu ce que cette petite voix dévastatrice pouvait dire sur notre physique (voir l’article « Comment se réconcilier avec son corps », la voici qui resurgit pour nous dénigrer au niveau de notre être tout entier et de nos capacités.
Toutes ces pensées négatives sont la plupart du temps le résultat d’expériences passées que nous avons vécues, le résultat d’une série de conditionnements.
Une faible estime de soi peut remonter loin dans l’enfance.
Dès l’instant où nous naissons, nous captons toute une série de messages: certains sont valorisants, d’autres sont dénigrants, dévalorisants.
Certains messages viennent de nos parents, de notre éducation et parmi ces messages, tous n’étaient pas nécessairement négatifs à la base mais ont été perçus comme tels par l’enfant.
Sa confiance ainsi érodée, l’enfant en déduit qu’il ne pourra jamais accomplir quoi que ce soit de bon.
Notons qu’une même remarque peut être interprétée différemment d’un enfant à l’autre, d’un moment à l’autre.
Bien sûr, on ne peut déterminer avec certitude pourquoi tel enfant va prendre le message dans un sens ou dans un autre. Mais ce qui est clair, c’est que la manière dont il va percevoir les informations reçues depuis son enfance va influencer le devenir de son estime de lui.
Parfois, une personne, pourtant confiante au départ, peut perdre cette confiance suite à certains évènements bouleversants vécus comme des échecs ou suite à une déception amoureuse.
Mes ces pensées, ces conditionnements qui nous habitent ne sont pas une fatalité!
Comment se réconcilier avec son corps
«Notre corps est la barque qui nous portera jusqu’à l’autre rive de l’océan de la vie. Il faut en prendre soin»
Swami Vivekananda
«Ah si seulement j’étais plus mince, plus grande, plus fine de taille…»
«Ah si seulement mon nez était plus petit, si j’avais une plus grosse/une plus petite poitrine…»
«Ah si j’étais plus musclé, plus beau…»
«Ah si j’avais un corps de rêve…».
Et voilà notre petite voix dévastatrice en train de s’exprimer à tout va…
On se prend la tête avec nos défauts, on se déteste, voire on se hait…on se cache
Impact de la gestion du temps sur nos vies
«Le temps c’est la vie…rien n’est plus important que lui…».
Le stress présent dans nos vies est souvent provoqué par des lacunes dans notre gestion du temps. Avec trop d’activités, on n’a jamais assez de temps pour accomplir l’essentiel dans le délai imparti, ce qui entraîne une insatisfaction lancinante.
Par conséquent, la gestion du temps et la gestion du stress vont généralement de pair en raison de leur interaction et une planification soigneuse de votre emploi du temps est cruciale.
On ne peut pas rattraper le temps perdu mais on peut apprendre à arrêter de perdre son temps!
En vous inscrivant à la newsletter, vous avez bénéficié gratuitement de mon livre «Comment gagner du temps, vivre plus et réaliser ses rêves»; il ne s’agit pas seulement d’un livre mais d’une mini formation visant à vous interpeller et à agir pour apprendre à vivre autrement.
En page d’accueil, vous avez une ordonnance bien-être, petit mémo pour vous aider à mieux gérer votre temps.
Dans cet article, nous verrons plutôt les symptômes d’une mauvaise gestion du temps et les avantages à changer cet état de fait.
Une gestion du temps efficace peut certainement faire beaucoup pour changer une vie stressante et augmenter votre niveau de productivité et de bien-être. Pour démarrer une bonne gestion du temps efficace, il importe de commencer par des petits changements que vous pouvez utiliser; ensuite, les pratiquer un bon mois jusqu’à ce que vous en preniez l’habitude. Finalement, vous pourrez vivre ces changements comme une seconde nature.
Pour rappel: c’est par la pratique qu’on maîtrise…sans action: IL NE SE PASSE RIEN!
Quels sont donc les symptômes principaux d’une mauvaise gestion du temps?
L’étape la plus importante de la réalisation du changement est de reconnaitre si vous avez une mauvaise gestion du temps. Voici des signes révélateurs du besoin de réviser vos méthodes de gestion du temps:
- lorsque vous devenez facilement irritable quand vous accomplissez vos tâches
- lorsque vous vous sentez sans cesse trop fatigué
- lorsque vous avez du mal à vous concentrer sur ce que vous faites
- lorsque vous n’arrivez pas à bien dormir en raison de l’anxiété ou des soucis inexpliqués
- lorsque vous culpabilisez et que vous vous dévalorisez de ne «pas avoir été à la hauteur»
- lorsque la mémoire commence à s’embrouiller.
«Je n’ai pas de temps à consacrer à mon développement personnel affirme celui qui passe 24h/24 à se détruire».
Blogs
Se libérer des troubles alimentaires
Pour certains, l’acte de manger peut devenir une préoccupation de tous les instants, un besoin irrépressible d’y avoir recours ou de le rejeter, de jour comme de nuit. La nourriture perd ainsi tout son charme gustatif pour ne plus être qu’un sujet obsédant, aliénant
Se libérer du tabac
Vous rêvez de vous libérer du tabac mais vous manquez de confiance en vous ?
Vous voulez vous débarrasser de cette dépendance mais vous ressentez des craintes ?
Vous voulez réussir ce combat mais vous ne savez pas par où commencer ?
Vous aimeriez avoir des outils pour vivre ce sevrage le plus sereinement possible tout en ayant des résultats durables ?
S'épanouir sexuellement
Vous vous sentez bloqué(e) dans votre sexualité ?
Certains problèmes tels que le vaginisme, la dyspareunie, l’éjaculation prématurée, une dysfonction érectile ou autre… vous entravent et vous empêchent de vivre une vie sexuelle épanouissante?
Se réconcilier avec son corps
Alors, tant qu’à faire : Si vous appreniez à en faire votre meilleur allié, si vous appreniez à l’aimer, à le considérer avec douceur et bienveillance… Ne serait-ce pas plus agréable, plus confortable ?